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 Erin ▬ "Le lancer de clé à molette c'est fun ! "

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Erin Mc Faden
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Erin Mc Faden

Age : 24 ans
Messages : 387

Erin ▬ "Le lancer de clé à molette c'est fun ! "  Empty
MessageSujet: Erin ▬ "Le lancer de clé à molette c'est fun ! "    Erin ▬ "Le lancer de clé à molette c'est fun ! "  EmptyLun 30 Jan - 23:59



Erin Mc Faden
« Shooting stars »


Nom : Mac Faden

Prénom: Erin

Age : 24 ans

Nationalité : Irlandaise

Sexualité: Bisexuelle.

Métier :
Mécano et patronne de son propre garage. Leader du gang KAOS.



Dual ? Oui

Si oui, son pouvoir s’est-il manifesté ? Quel est-il ?

Faire exploser le gâteau d’anniversaire de la gamine du coin de la rue, ça compte ?
Je ne sais plus à quel âge exactement le pouvoir a commencé à se manifester, tout bêtement en me bagarrant avec la fille en question, éternelle rivale des bacs à sable. Le lendemain, je faisais exploser mon bol de lait sous l’énervement.
Je suis en effet capable de charger des objets d’énergies explosives, quelque soit leur taille ou leur matière d’origine, même si j’ai du mal avec le tissu, ou tout ce qui n’est pas dur. Avec de l’entraînement, j’ai réussi à maitriser l’arrêt total avant l’explosion, sans la retarder. Je peux aussi garder l’énergie sur moi, dans mes gants principalement mais bon ça pique après …
J’ai découvert en me liant à d’autres Duals, que je pouvais mieux agir sur la grosseur et la quantité des cibles, et depuis que j’ai conclu un pacte avec Luke, mon second, l’énergie découle plus vite, l’explosion devient presque instantanée. Une dynamite ambulante en quelque sorte.

Sens sur-développé:

Le touché. Pratique et bien embêtant dans certaines situations…
Sens exacerbé à son maximum si bien que par moment, je ne ressens plus rien, les sens saturés d’informations.

A-t’il rencontré son Dual « Z » ?

Non, pas encore. Je serais curieuse de ce que ça déclencherait chez cette personne, comme chez moi. Mais c’est pas pour autant que je la cherche activement … On verra bien.
Que pense t-il des Duals ?
J’en suis une, donc je ne les déteste pas, comme je ne les adore pas non plus. Ils ne valent pas moins ou pas plus que les humains.
Je me demande parfois si mes parents l’étaient, ce que ça ferait de ne pas l’être. J’appartiens aux Duals sans pour autant me sentir véritablement des leurs, au sens communautaire, toutes ces réunions, ces traditions … Je ne connais pas tellement et si c’est pour écouter les récits d’histoires que j’ai loupé en dormant sur mon bureau à l’école, je n’y tiens pas tellement, même s’il reste une curiosité maladive quand j’en rencontre un.
J’aime le touché, cette chaleur, cette aura, l’adrénaline qui parcourt mes veines quand le pacte se fait, et j’en ai fait pas mal depuis.
Les Duals font partie de moi, ils sont une ombre qui court le long de ma colonne vertébrale, c’est un fait que je ne pourrais jamais réfuter.




Physique et Caractère

    Je déteste me regarder dans le miroir le matin, et vous savez pourquoi ? Parce qu’au réveil, j’ai l’air d’une véritable sorcière, mes cheveux couleur suie en crinière sauvage (plus que d’habitude), entourant un visage avec les dernières traces d’un sommeil d’ours, des crottes aux coins des yeux, et la pupille pas franchement alerte. Une odeur d’essence qui colle à ma peau, parfois. De quoi faire monter son sex-appeal en flèche, je vous assure !
    Il parait que j’en suis une, d’après certains. Et c’est vrai que je n’ai pas un caractère très facile à vivre. Une chieuse, grognon, grande gueule, bougonne – surtout le matin - et violente. Une femme qui refuse qu’on lui marche sur les pieds et qui n’en fait qu’à sa tête, et depuis très longtemps. Un vrai garçon manqué. Mon job en est le plus éclatant résultat.
    Vous l’aurez deviné, je ne suis pas particulièrement féminine, le rouge à lèvres, les pépiements de midinette en chaleur, très peu pour moi, je les croque plutôt au petit déj’ ! Rien ne vaut des vêtements amples mais pas trop, juste de quoi être à l’aise… surtout pour faire un tour à deux heures du mat’, la vitesse mangeant les kilomètres de bitume.
    Je ne suis pas que ça, et heureusement, je n’en serais pas où j’en suis en tapant simplement du pied et en mettant des droites, même si j’en distribue encore pas mal, et croyez-moi, la méthode américaine fait ses preuves. L’instinct prévaloit souvent sur la technique dans ce domaine…
    Je ne suis pas un as de l’intelligence, mais je sais être maligne, et franchement j’adore rouler les gens au travers des mes grands yeux auburn. Il parait qu’ils prennent un éclat écarlate quand j’utilise mon pouvoir, surement dû à la lumière.
    J’ai beau avoir un naturel à être très – trop franche, je sais me taire, surtout quand cela concerne KAOS, et même si fermer ma gueule me la fait sentir mauvaise, je le fais par nécessité. Responsable ? J’ai appris à l’être, même si l’appel du danger coule dans mon sang, et que je ne peux pas m’empêcher de fourrer parfois mon nez là où il ne faudrait pas.

    D’un point de vue extérieur, on me juge plutôt petite, pas un exemple de calme, colérique même mais pas forcément bavarde, dangereuse même si sur ce dernier point, c’est surtout dû à la réputation du gang. J'aurais tendance à être rancunière aussi.
    Oui, je n’hésite pas à me salir les mains, mais ça ne veut pas dire que j’aime égorger des petits enfants dans mon sommeil. Les gens savent qui je suis, sans réellement me connaître vraiment, ça accentue les préjugés, mais cela me permet aussi de préserver une vie personnelle.
    Tout n’est question que d’intimidation, d’apparences au fond…

    Et de ce côté-là, hum, je ne suis pas forcément différente de d’habitude, un peu frivole, mais qui s’attache assez vite, sans pour autant tomber amoureuse du premier ou de la première venu(e). Le jeu de la séduction me plait sans pour autant que ça soit une priorité dans mon existence brouillonne.
    Trop entière peut-être, et qui tient à sa liberté.

    Il y a peut-être aussi la peur d’être enfermée dans un carcan d’idées préconçues aussi, derrière mon attitude revêche et mes mots parfois tranchants. Pourtant, j’aime relativement bien le contact, les blagues, les sorties, le chocolat et tout ce qui contient de près ou de loin du sucre.
    Je déteste les hypocrites, les talons aiguilles et prendre une douche froide, de même que quelqu’un me pique ma couette. La pluie, parce que ça fait rouiller mon matos, et qu’on regarde trop intensément la brulure sous mon œil droit.
    J’adore KAOS, me sentir vivante, l’adrénaline qui gonfle mes veines à la vitesse ou sous l’intensité du pouvoir qui coule en moi, faire des pieds de nez aux Vallen, et découvrir ce qui se cache derrière le masque de Seven.

    Un rien féminine, un rien sorcière au caractère d’enfer, une ombre plus grande qu’elle dans son dos.




Histoire

Bande son
    Croyez-le ou non, je n’ai jamais décidé de prendre complètement la tête du gang. On n’arrive pas du jour au lendemain, en se disant que l’on va monter un gang dangereux et respecté sur l’échelle de plusieurs quartiers. Non …
    Le boulot, ça je l’ai choisie en toute connaissance de cause, et contre l’avis de la plupart des gens autour de moi. Un vrai coup de cœur et une passion un peu étrange pour une ado de 14 ans que d’avoir envie de passer ses journées dans le cambouis et les mécaniques d’une technologie toujours plus en avance sur son temps.
    Mais laissez-moi vous expliquer comment j’en suis venue à être le sourire de votre garagiste attitrée, et l’ombre inquiétante, dirigeante d’un nom connu des quartiers Est de Londres.

    Avant, mon univers, c’était les falaises, l’océan à perte de vue, le vent qui vous ébouriffait les cheveux en les colorants d’une odeur saline particulière. C’était les rires dans les pubs, et les coups de gueules, les conneries à vélo. Avant, c’était l’Irlande, jusqu’à mes 14 ans.
    Je n’aime pas m’étendre sur ça, mais là-bas, j’étais aussi la vaurienne, l’enfant de pute, l’abandonnée, petite. Adoptée très jeune, je n’ai jamais connu mes parents, et ne les ai jamais retrouvé malgré des démarches acharnées plus tard. Accouchée sous « x » qu’il y avait marquée en lettres noires sur le papier de l’orphelinat. Ah.
    Quoi de mieux pour effacer toute trace d’existence, la tâche d’une erreur dans sa vie surement ? Oui, des années après, je lui en veux encore surement, à cette mère qui n’a jamais été la mienne.

    C’était pas grave, du moins la plupart du temps, c’était ce que je me répétais, mes parents adoptifs m’aimaient énormément, et ils ont tous fait pour moi. Tout, jusqu’à déménager dans un autre pays pour se trouver une meilleure situation. Seulement, moi, je ne l’ai pas vu de cet œil, bien au contraire. J’ai tempêté, pleuré, ragé, boudé … véritable crise pour ne pas avoir à partir, et perdre des repères que j’avais déjà eu du mal à me construire. A mes yeux, Londres ne valait pas mieux que le dernier endroit sur terre où j’aurais voulu aller, mais j’ai suivi le mouvement, mécontente et persuadée de ne jamais m’y faire.
    Souvent, encore maintenant, j’aimerais retourner en Irlande, mais force est de constater que Londres m’a adoptée, ou plutôt que je l’ai adoptée, malgré moi au départ.
    Mon silence revanchard et buté s’est brisé devant les sourires et les blagues de quelques-uns qui sont devenus de plus en plus importants pour moi, certains encore à mes côtés à l’heure où je vous parle de tout ça. Ils agrandirent le concept de famille un peu bancal que j’avais, d’autant que je venais tout juste de découvrir que la femme qui m’avais mise au monde avait fait en sorte de couper les ponts définitivement, de manière à ce que je ne puisse jamais remonter jusqu’à elle. Certains savaient, comme Callie, Allistair, Luke et Ash, d’autres non mais par leur attitude égale envers moi, ils me montrèrent inconsciemment que je n’étais pas qu’une erreur raturée d’une signature pressée.
    Le groupe que nous étions faisait les quatre cents coups, en cours d’abord, puis dans la rue.
    Blagues douteuses et petits larcins s’enchainaient au rythme de nos rires, de certains de nos baisers cachés même, de nos engueulades aussi. Surtout entre Ash et moi, dont la possessivité frôla la connerie parfois, et puis il faut dire qu’on était rarement d’accord même si on était très, trop peut-être même, proches.
    C’est à ce moment là que j’ai eu un coup de cœur phénoménal pour la vitesse et les bécanes en tout genre, d’où mon attraction immédiate pour le garage en désordre du vieux Gib’. Il me le légua à sa retraire, quelques années plus tard.

    Comment un groupe d’amis meilleur en conneries qu’en bulletin scolaire, inconscients et à l’humour douteux a pu devenir aussi dangereux en si peu de temps ? Par nécessité.
    KAOS était une réponse, une réponse sanglante à cette atmosphère qu’un autre gang venu du Sud de Londres faisait peser sur le quartier. Une protection qui s’est mise en place sans vraiment que nous ne nous en rendions compte, Ash et moi à sa tête, férocement.
    La violence a remplacé les plaisanteries, les insultes, les rires et la méfiance s’est substituée à une croyance que tant qu’on n’emmerdait personne, nous aurions la paix. Faux.

    J’avais 17 ans quand la sensation froide et lourde d’une arme se posa dans ma paume.
    J’avais 17 ans quand j’ai volé la 750 de mes rêves. A peine plus âgée de deux ans de plus quand j’ai volé ma première vie aussi, sans le savoir. Il s’est écroulé alors que je tournais le dos en fuyant, couvrant mes amis d’explosions plus dangereuses les unes que les autres, le bruit couvrant le cri de douleur rauque de son jeune frère.
    On cria à l’incendie criminel et aux terroristes le lendemain dans les journaux…

    Suite à cela, nous nous sommes faits plus discrets, malgré l’envie dévorante, l’ambition morbide au fond du regard d'Ash, d’en vouloir toujours plus, nous plongeant dans divers trafics, toujours plus sombres que les précédents.
    Les coups de gueule entre nous devenaient récurrents, nos cœurs se déchiraient au fil de nos cris, pourtant poussés par un même but. Nous protéger.

    La mafia ne vit pas cela d’un très bon œil, d’autant que l’on commençait à avoir de l’influence dans le Westminster, et on les soupçonne encore d’avoir aidé discrètement à l’une de nos plus cuisantes défaites. Terme allégé pour décrire la débandade que ça a été, raclée monumentale qui a sali le nom de KAOS pendant un moment. Sali mon corps, mon visage aussi.
    J’ai toujours été une tête brulée, et ce fut la fois de trop. Une action presque suicidaire, percée dans leur territoire, qui a fonctionné sans pour autant n’être pas sans conséquences.
    C’est à ce moment là, que certains des nombreux tatouages qui ornent mon dos et mes bras ont brulé, me laissant des marques brunes. Traces de notre stupidité, de ma douleur devant les corps projetés en l’air, soufflés comme des poupées de chiffons.

    Ça ne m’empêche pas d’utiliser encore mon pouvoir, les pactes s’enchainant, signant mon corps de suie indélébile. Crow, le corbeau, l’oiseau de mauvaise augure avait toujours été mon surnom, et il ne m’a jamais mieux été qu’à cet instant de ma vie.

    Malgré la douleur, je n’ai pas regretté mon geste, même si cela a amené plus de distance encore entre le leader de KAOS et moi, créant des dissensions dangereuses en son sein.
    Une réputation peut être détruite aussi facilement qu’un fétu de paille dans une tempête …
    De rage, d’incompréhension, je m’en suis éloignée, me plongeant pour la première fois, pleinement dans une relation amoureuse, et pas simplement des silhouettes de passages. Elle était peintre, elle s’appelait Morgane. Cela n’a duré qu’un an.
    Ash était jaloux, c’était clair, mais ça ne s’est pas fini à cause de lui, et heureusement, mais simplement par le départ de la belle blonde, un sourire désolé au coin des lèvres.
    KAOS a toujours été mon ombre, et je crois que ça l’effrayait toujours un peu, même si elle n’a jamais rien su de mes véritables rôles dans le gang.

    A l’aube de mes 23 ans, mes parents sont partis en Écosse, et y sont restés, rassurés de savoir que j’avais un emploi assez stable, du moins en apparence. C’était tout de même vraie que petit à petit, la confiance des gens envers Gib’ m’avait pas mal aidé à me faire mes premiers clients.
    Cette époque encore un peu floue dans mon esprit, marqua aussi la brisure, la cassure que subit KAOS. Une énième engueulade, un coup qui part, suivi d’un autre, vicieux, aussi acerbe que les regards que l’on se lançait.
    La bagarre a éclaté, et je refusais de plier devant Ash, pourtant plus fort que moi. On avait été lié, je connaissais la capacité de son pouvoir, cette force herculéenne qu’il en tirait… mais je tenais bon. Les cheveux ruisselants de sang et d’eau, de larmes et de colère, je finis par plier l’échine, un dernier regard amer pour sa silhouette, qui n’en menait pas large non plus.

    Il n’avait pas gagné… On ne remporte pas toutes les victoires dans le sang, surtout celui de ses alliés.
    Quelques jours plus tard, sans explication, le jeune homme avait disparu.
    Vexation, véritable raison, je n’en sais rien, mais une chose est sure, je lui en veux, de nous avoir abandonné, laisser sans aucun mot d’adieu. Et peut-être qu’au fond, même si j’ai accepté de m’imposer en tant que leadeur, j’espère qu’il revienne, d’une façon ou d’une autre.

    Gagner la confiance totale de tout le monde fut plus que difficile, et les tensions multiples, mais j’ai réussi à asseoir une certaine autorité, trop souvent en jouant des poings. Je ne voulais pas refaire les erreurs d'Ash, même si renouveler l’accord avec les Vallen m’écorcha la langue. Nécessité.

    Aujourd’hui, plus discrète sans pour autant être moins tête brulée, la réputation du gang est toujours aussi acérée, même plus, même si en son sein les choses n’ont pas été faciles à aplanir. J’ai effacé la drogue de nos objectifs, ne voulant plus que l’on distribue cette merde qui coule pourtant dans les veines de beaucoup de mes amis. J’y ai déjà gouté, m’y suis abandonnée… La protection de nos affaires reste mes priorités, même si je ne suis jamais contre un petit coup d’éclat chez les voisins. Aller casser du gang adverse ok, mais pour une bonne raison, pas pour rien, ni pour une violence idiote et gratuite.
    Les armes nous sont nécessaires, les répliques étant plus virulentes des autres depuis que l’on ne sait pas qui gère KAOS, du moins "officiellement", pour ceux ne trempant pas dans ce milieu là. Luke m'aide à entretenir le flou, nous assurant une sécurité supplémentaire. Son existence est une rumeur qui court sur les lèvres des jeunes, qui rime avec violence, vol, trafics, et souterrain.

    Je protège les miens, d’une manière ou d’une autre.





Pseudo: Lineae- Solal - Aya et tant d'autres...
Avatar: Lal Mirch de KHR
Un mot de plus ? Qui pari que dans un mois j’vais avoir envie de la refaire cette fiche ? xD

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